Quelques jours avant la fin de la résidence, Carole Zalberg écrit aux quatorze personnes qui ont participé à l’atelier du mardi soir pour leur dire ce qu’elle ressent à la veille de départ.
A son tour, Isolde une écrivante lui adresse un texte qui lève un peu le voile sur le mystère de l’atelier, « cette parenthèse hors du temps », lieu de création, de partage et d’écoute bienveillante.
Chers écrivants
Je tenais à vous remercier pour ce que vous m’avez offert tout au long de cet atelier : votre confiance, d’emblée, malgré la perplexité de certains à l’annonce du travail sur l’animal, et puis, peu à peu, nichés dans vos textes ou au détour d’un sourire, d’un regard ému, grave, malicieux, des éclats de vous. Précieux.